La pandémie actuelle de coronavirus nous a fait prendre conscience de la nécessité de repenser le monde dans lequel nous vivons, et surtout, de l’obligation d’agir dès à présent pour faire face au réchauffement climatique.
Ce changement ne peut se faire qu’avec une certaine évolution des mentalités, qui, bien que déjà à l’œuvre, ne suffit plus. Il faut alors agir. Mais comment ? La hausse des investissements dans les start-up qui luttent contre le réchauffement climatique pourrait être un fer de lance quant à la réalisation de cet objectif.
Face aux prévisions particulièrement pessimistes du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC), selon lesquelles il faudrait des « efforts colossaux et urgents » pour contenir le réchauffement climatique à 1,5°C, l’investissement dans l’innovation et dans des projets écoresponsables semble être une bonne solution. Pour y parvenir, quoi de mieux que les start-up, ces puissantes sources d’innovations capables de générer une croissance durable. En effet, c’est en posant les bases d’une croissance durable dès la création d’une entreprise que les résultats les plus probants pourront être obtenus (économiques mais aussi environnementaux).
Avec une capitalisation dépassant les 400 milliards de dollars, le secteur de la « finance verte » en est le symptôme : le monde de l’investissement cherche aujourd’hui une alternative durable à la finance traditionnelle. Quoi de mieux que la startup pour allier la performance de l’innovation à ce nouveau paradigme ?
A travers ces mots, le Président Macron souhaite adapter le pays aux nouvelles règles de la mondialisation en modifiant le modèle français fondé sur un savoir-faire. Pour ce faire, il peut s’appuyer sur le French Tech Visa qui est une procédure visant à attirer des talents du monde entier souhaitant fonder une start-up. C’est ainsi qu’avec 9500 start-ups (d’après une étude EY de 2017), la France peut se targuer d’être un pays particulièrement avancé en la matière. Mais ces start-up ont-elles, pour autant, un engagement responsable vis-à-vis de l’environnement ? Au moins en partie. Les start-up françaises dites « à impact » sont de plus en plus nombreuses : on en compte 727 à ce jour d’après un article paru dans Novethic en juin 2021, soit un peu moins de 15% du total des start-up françaises. Elles s’appuient sur les Objectifs du Développement Durable pour définir leur feuille de route, et participent ainsi à la survie de l’homme.
Cette survie de l’homme sur Terre devra passer par un investissement conséquent dans ce type de start-up et par des projets toujours plus ambitieux. Dans cette perspective, de nombreux mouvements se créent à l’image de Time for the planet, entreprise créée en 2020 ayant pour but de lever un milliard d’euros afin de créer 100 entreprises engagées dans la lutte contre le réchauffement climatique. La nécessité d’agir sur nos entreprises de demain est d’autant plus importante que la pression climatique s’accroît. Pour cela, Skema Conseil se spécialise au niveau de ses prestations pour vous accompagner dans le lancement de votre start-up ou encore dans son développement à travers des campagnes de communication concernant vos engagements écoresponsables par exemple. Et si vous aussi vous souhaitez devenir une start-up « à impact », nous serions ravis de vous aider à réaliser votre projet !
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Rédigé par Theo Cucchietti,
Pour aller plus loin:
https://www.le-tout-lyon.fr/time-for-the-planet-1-milliard-pour-100-start-up-12572.html
https://www.strategie.gouv.fr/publications/lemploi-start-francaises